En-solo.JPGCe matin l’atelier est désert, sans bruit, sans poussière ni copeaux. Je me retrouve toute seule dans ce lieu et c’est inhabituel pour moi. Je reprends l’ouvrage laissé il y a près d’un mois déjà. Je m’attaque à la partie supérieure de mon lutrin pour m’occuper des assemblages. Aujourd’hui, je n’aurais besoin que de mes ciseaux à bois et de beaucoup d’eau dans l’après-midi où je lutte contre une certaine torpeur. La chaleur est intense et mes gestes un peu ralentis. En fin de journée, j’ai assemblée montants et traverses qui ne jointent pas complètement. Demain est un autre jour, en solo…

 

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