Etale...
Etale...
Etale...
Etale...

Etale

Cette mer méditerranée,

D’un bleu qui s’enfuit,

Vers l’infini,

Semble-t-il, jusqu’à toucher l’horizon,

Avec lequel elle se confond.

Je marche les pieds nus dans le sable mouillé

Sur la grève caressée

Par les derniers rayons perçants

Du couchant,

Bientôt là.

Lumière tamisée,

Empreintes marquées,

Embruns respirés,

Des reliefs de coquillages, aux coques brisées

Me chatouillent les pieds.

Je m’absorbe dans la contemplation de ces vaguelettes

Qui vont et viennent, imperturbablement,

Ressac régulier,

Qui tinte à mes oreilles captivées

Une bien belle journée,

Façon nouvelle heure.

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