Oriental
24 mars 2013
Sur scène, deux ouvrages ouverts, illustrés et un trait de lumière qui filtre à travers de minuscules vitraux. Il s’est installé sur la gauche de la scène. Je me laisse bercer, puis envoûtée par la sonorité de l’oud, qui accompagne sa voix et son chant, par moments. Une courte par enthèse vers le Yemen, au bout d’un pinceau ; celui de Philippe Bichon qui photographie et croque sur le vif, tout ce qu’il nous fait découvrir.
Je m’évade au son de cette voix. J’aime les couleurs, l’atmosphère, les visages et cet habitat de pisé, haut perché. Hypnotisée par les doigts qui dansent avec les cordes de cet oud. Je suis partie très loin d’ici…