Hiver 1984 ou 1985. "Thriller", "Billie Jean"  résonnent plein pot dans le "Pou qui pleure", planqué au coeur de ville à Montpellier. Je me déhanche avec Astrid, sur la piste de danse de cette boîte aménagée dans une cave voûtée. Nous sommes électrisées.
Ce matin, sous la douche je manque l'électrocution en apprenant la nouvelle. Ce mec génial inventeur de cette musique et rythmes si particuliers, qui n'ont même pas vieillis. On se croit toujours jeune, mais bon.
Va falloir se contenter de repasser tous ses bons morceaux en boucle. Plus tard, sur la route qui me conduit au boulot "Beat it" diffusé par France Inter emplit à fond l'habitacle de ma voiture. C'est drôle mais ce matin, tout le monde sifflote des standards de Mickael, et on ne parle que de lui.
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