Nu-copie-1.jpgL’horizon obscurcit, s’éclaircit, balayé par ce vent fou, mordant, furieux.

Comme c’est curieux.

Le temps de laisser mijoter et ce qui me paraissait compliqué devient plus limpide, presque évident.

L’envie me démange trop, celle de me frotter aux rabot, ciseau, gouge et marteau.

J’ai décidé de tenter ma chance à nouveau.

Le bois me colle à la peau.

Par un moyen ou un autre, je sais que j’y arriverai.

Un beau jour, je mettrais en mots l’histoire de ces meubles et objets venus d’ici et d’ailleurs, revisités à ma façon.

Cœur en bois de rose, j’y crois !

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